Un des grands atouts de la radiographie numérique est qu’elle nécessite moins de rayons X, ce qui permet de limiter le rayonnement au strict minimum.
Le résultat est quasi instantané, ce qui permet de poser un diagnostic immédiatement.
Comme l’image est numérique, il n’y a plus de radiographies ratées qui doivent être reprises pour cause de sur ou sous exposition, car les corrections peuvent être faite instantanément sur l’ordinateur.
Les images ne s’altèrent pas avec le temps et peuvent être consultées et comparées de façon sûre et fiables aussi longtemps que nécessaire.
Différents outils informatiques facilitent et améliorent le diagnostic.
L’envoi et le partage des images numériques se fait aisément et rapidement, sans risque de perte du document original.
Les capteurs numériques sont réutilisables et sont emballés dans un petit sachet plastique hygiénique. Ce petit sachet et le seul déchet généré.
Avec les radiographies analogiques classiques, aussi appelées argentiques, il faut attendre une bonne dizaine de minutes avant d’avoir l’image.
Le procédé est similaire à une pellicule photo noir et blanc, et la manipulation est complexe.
Le film est dans une pochette à l’abri de la lumière et doit être développé dans une chambre noire à l’aide de révélateur et fixateur chimiques.
L’état des bains chimiques influence grandement la qualité et la conservation des images. Il faut donc les renouveler fréquemment, ce qui a un impact écologique important.
Si les procédés ne sont pas strictement respectés ou si les produits se sont altérés, les radiographie ne sont pas lisibles ou se dégradent très rapidement.
Immédiatement convaincu par la nouvelle technologie, le cabinet s’est entièrement numérisé (rx intra buccales et panoramiques) en 1997, faisant office de pionnier. À l’époque, seules trois universités de Suisse avaient cet équipement. Depuis, la radiologie numérique c’est bien généralisée et équipe actuellement de nombreux cabinets.